Welfen Solentus "Bon déjà bonjour , on est pas des animaux hein !"

Nom du personnage :
Welfen Solentus
Age :
30ans
Ethnie :
Hyborien
Religion :
Mitra
Alignement :
Neutre bon
Métier :
Alchimiste



Taille :
1m 75
Poids :
67kg

Apparence :
Toujours encapuchonné, certaines mèches dépassent de sa capuche laissant voir de long cheveux couleur blond vincien. Ses épaules laissent penser qu’il se tient toujours en bonne forme physiquement.
Son visage est banale (quand il ne le cache pas sous un masque) une barbe taillé, si il le peut, ses yeux bleu clair. Aucune marque distinctif sur son visage si ce n'est une légère cicatrice sur sa joue.

Personnalité :
Si le sarcasme avait un avatar, sans nul doute que cet homme serait son portrait cracher. Welfen se dit un homme simple. Il ne supporte pas qu’on le dérange dans son laboratoire. Il accueillera tout ce qui le semble idiot par une remarque comique. Ne prendra pas part à des conflits vide de sens. NE se sentira pas le moins du monde touché par les ragots ou par des histoires qui ne concerne pas l’érudition. Il n’est pas esclave de ses pulsions mais à un franc parlé très libre. En gros : « On toc à la porte avant de rentré c’est pas compliqué non ? Si vous saviez lire je vous le noterais bien mais on sait tout les deux que cela ne sert à rien… »

Le soir venu, installé dans sa nouvelle demeure. Welfen prit le temps de s’installé sur son nouveau bureau plume à la main. Il déroula un parchemin vierge, le contempla une bonne minute avant d’assouvir un désir jusque là inexistant chez lui. Il commençât son récit.

« Elisa,
Ma grande et fière Elisa, je suis si mal de ne plus te voir. Si idiot de t’écrire alors que tu ne me reverras plus jamais. Tu me manques tellement mon aimé.
Je me dois de t’écrire car sait-on jamais, un jour peut être parviendras tu à me lire…. Le jour ou Lorincte mourut, ce vieux briscard me légua comme tu le sais le laboratoire et sa clientèle par la même occasion. Mais une petite formation au jeu des nobles n’aurait pas été de refus. Car vois-tu ma Elisa, quand tu prends part à un complot sans le savoir c’est toujours sur le petit qu’on abat la fureur, pas sur les bien habillé qui ont eu la chance de naitre avec le soleil qui leur sort par le trou… Tu m’as compris.
Je maudit le jour ou Keorion Telacius vint à mon laboratoire me demandé des poisons « pour l’armé ». Idiot que je fut en acceptant ce contrat avec un tel résidus de fiole ! Cet enfant de zingarienne voulait en effet faire un cout d’état et par la même occasion tué son père en faisant passé ça pour un acte de la cité voisine. Alors bon il a réussi certes… Mais un témoin reste un témoin comme tu le sais sans doute si tu lis cette histoire digne d’un barde alcoolique qui aurait pris du lotus. Je… »

Un homme en armure fit éruption dans la pièce sans toqué à la porte pour annoncer : » le prêtre vous attend. »
Le rouge montat au visage de Welfen avant d’hurlé : : « On toc à la porte avant de rentré c’est pas compliqué non ? Si vous saviez lire je vous le noterais bien mais on sait tous les deux que cela ne sert à rien… »

-... je sais pas si vous savez un alchimiste c'est pas un cuisinier avec des poêles plus sophistiqués ! Je ne fais pas des pâtes à crêpes ! Je manipule en permanence du matériel dangereux, corrosif, toxique, explosif... Alors la prochaine fois que vous pensez qu'il est judicieux de venir me demander où vous pouvez mettre la torche dans le couloir, souvenez-vous que j'ai une petite idée mais elle va pas vous plaire !
Finit de dire Welfen avant de claquer la porte au nez de son interlocuteur.

Il s'assit à son bureau quelques instants avant de se décider de ranger et nettoyer son matériel. La tâche ingrate finit il remonta le haut de la tour pour retrouver le confort de ses appartements au-dessus de son laboratoire.
Après avoir préparé de quoi manger et d'avoir engloutie son repas sans saveur.  Il prit son journal caché sous son lit pour l'ouvrir là où il c'était arrêté la veille. Il contempla son dessin quelques instant avant de tenter de l'achevé quelques heures plus tard. Il le regarda un temps mais qui lui parut une éternité avant de s'exclamer.
-Elisa... pardon j'ai été trop idiot, j'aurai du faire attention...


Après quelques instants à regardé le visage qui lui semblait si gracieux, il finit par relire les pages plus antérieures et apporta une attention plus particulière à celle concernant sa rencontre avec Alastar et Harrun :

« Jour 3,
Pendant que ce foutu lapin ne voulait pas cuire (et il ne le sera jamais au final) un vieux machin habillé en bleu et un pygmée en armure s’approchèrent de moi. Franchement soyons honnête déjà que je les ai pas vu venir et que ma seule arme fut une pique en silex, qui n’aurait même pas servie comme pique à fromage, je pensais mon heure arrivé… Et bien pas vraiment, comme l’avenir me le dira, ils étaient tous les deux représentant d’une communauté fortifié de Mitran et il venait en paix (comme le dit la religion en question d’ailleurs).
Mais sinon sans aucune forme de pression ou d’inquiétude il me raconte avec le plus grand des calmes, qu’un vieux peut avoir, que je suis proche d’un camp de setite et qu’ils ont des prêtres (ce qui veut dire sacrifice fréquent…). Alors je sais que je ne suis pas le plus courageux des hommes, mais je me sens pas honteux de dire que j’ai failli souiller mon pantalon…
La suite étant aussi intéressant qu’un dodo dans la prairie, je m’abstiendrai donc de décrire un voyage aussi ridicule.
La ville est bien fortifiée, il y a de l’eau …. Mais, ils ont une BIBLIOTHÈQUE ET UN LABORATOIRE ALCHIMIQUE ! Donc je remercie Mitra de tout ça… mais la bibliothèque est aussi vide que le crane d’un homme ayant une alopécie, le laboratoire est aussi propre qu’un yogite après son repas… Oui je vais avoir du travail c’est sur… »

Sans s’en rendre compte, a la fin de cette phrase il s’endormit sur sa chaise.

-WELFEN ! On vous dérange peut-être ?
L’intéresser releva la tête subitement, quittant ainsi le parchemin qu’il lisait un court instant. Pour ensuite répondre avec surprise.
- Pardon c’était une question ? Non car j’ai cru que vous étiez devenu perspicace.
- Sortez !
- Ho bas, non … j’était impatient de savoir comment on allait gérer le stock de blé.
A cette tirade, Alastar regarda l’alchimiste sans mots comme au début de cette échange avec un regard d’autorité qui traduisait l’ordre du silence. Welfen se leva alors pour retourner dans son laboratoire, le parchemin sous le bras.
Après avoir rangé le parchemin, il ressortit son journal et commençât à écrire son récit de la veille.

« Jour 6,

J’écris se mot en étant extrêmement fatigué… Cela va faire depuis 2 jours que je ne dors pas. C’est donc après ce vide de sommeil que je vais tacher de retranscrire mon impression sur les évènements qui vont suivre. Pour plus de précision il faudra se rapporter aux ouvrages de la bibliothéque suivant :
« Monde miroir : Daemon Tumultus »
« Exsilium Incognita »
Je veux pas faire ma sucrée mais quand en une semaine on vous envoie sur une terre étrange (qui dispose 3 type de climat différent sur un espace qui ne devrait pas dépasser un micro pays), qu’on vous sort que tous ceux qui s’y trouve son des criminels, qu’il y a une grande prêtresse Setites (qui semble puissante) et qu’en plus de tout ça des portails s’ouvrent pour faire sortir des créatures extra-dimensionnel… Il ne faut pas s’étonné de ne plus pouvoir dormir !
Alors oui nous avons combattu ! Oui nous avons eu des blesser ! Et non ce n’est pas normal !

Elisa, si tu savais comment tu me manque. Je me tue à la tâche et j’évite tout contacte car j’ai peur d’oublier ton visage. Mais petit à petit tes jolis yeux noisette et ta chevelure de jais s’efface pour laisser place à des horreurs que l’homme n’aurait dû voir. Quand cela va mal, je me rappel la fois ou nous avons marché le long de la rivière peut de temps avant la mort de Lorincte. Cette même balade pendant laquelle je t’ai proposé de quitter cette cité pour aller en Aquilonie rebâtir une vie loin de la misère pour fonder une famille. Je me souviens encore des noms que tu voulais donner à nos enfants… »





Welfen ne put finir car ses yeux noyés par les larmes ne lui laissèrent plus voire clairement devant lui.
La nuit tombé, comme à son habitude son masque de sarcasme tomba pour ne laisser qu’un homme en morceau. Le sommeil et ses cauchemars attendirent qu’il s’effondre de fatigue.