- Une ombre
- Date d'inscription : 23/08/2017
Messages : 32
Un air de rébellion
Jeu 1 Mar - 18:38
Récitée comme un poème, scandée avec gravité par les adultes*, ou chantée avec un ton rebelle par les plus jeunes, une courte chanson en aquilonien semble se répandre dans les camps et villages d'exilés.
"Sous son casque corinthien
Il n'a pas vu le milicien
que l'héroïne qu'il a tué
était le coeur des exilés
Plus d'amitié, ni de bonté
que tu viens d'assassiner
Cette guerre que t'as commencé
C'est ta tombe que t'as creusé"
Pour certains c'est un esclave affranchi qui l'a écrite, d'autres parlent de l'apparition d'une guerrière au plastron de métal, d'autres enfin du fantôme d'une femme seule dans un immense château.
On raconte même que le fils d'un Compagnon Mitréen l'aurait chanté et qu'après la gifle de son père, il se serait enfui en criant : "Miliciens ! Têtes de chien !"
"Sous son casque corinthien
Il n'a pas vu le milicien
que l'héroïne qu'il a tué
était le coeur des exilés
Plus d'amitié, ni de bonté
que tu viens d'assassiner
Cette guerre que t'as commencé
C'est ta tombe que t'as creusé"
Pour certains c'est un esclave affranchi qui l'a écrite, d'autres parlent de l'apparition d'une guerrière au plastron de métal, d'autres enfin du fantôme d'une femme seule dans un immense château.
On raconte même que le fils d'un Compagnon Mitréen l'aurait chanté et qu'après la gifle de son père, il se serait enfui en criant : "Miliciens ! Têtes de chien !"
- *:
- (air proche de l'auvergnat de Brassens)
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum